N°15 Super duke, 2018, signé
3 300,00 CHF
Fiche technique
- Type peinture
- acrylique sur panneau
- Genre de peinture - école
- Pop Art
- Dimensions en cm sans cadres
- 100 x 100
Auger Thierry
Après avoir voyagé et vendu des tableaux aux quatre coins du monde, l’artiste Thierry Auger est de retour dans sa cité thermale d’origine. Entre collage et sculpture, ses œuvres apportent un nouveau souffle dans le monde du street art
.Réunir La Joconde et Marylin Monroe sur une de ses 'uvres, c'est une chose habituelle pour Thierry Auger. « J'aime mélanger, décaler les choses. Certains de mes tableaux peuvent dégager une ambiaNCe un peu fofolle, un peu trash, mais j'adore ça ! » Et ça ne date pas d'hier
…C'est à partir de sa dixième année que Thierry Auger se prend de passion pour tout ce qui tourne autour du dessin. D'abord des aquarelles, il passe rapidement aux peintures et collages, avant une période à vide. « Puis en 1992 j'ai décidé de bouger. J'avais besoin de quitter Vichy, de voir de nouvelles choses. C'est comme ça que j'ai atterri à Saint-Tropez. Dès lors, je suis retombé dans les aquarelles, puis la peinture. Saint-Trop' m'a beaucoup influeNCé. C'est une ville où il se passe tellement de choses. C'est artistiquement très ouvert, on voit un tas de choses, on reNContre un tas de gens, étrangers, artistes, etc.
»« Je n'ai pas de style unique. Quand on peut tout faire, pourquoi se priver ?
»Des aquarelles au classique, des natures mortes à la sculpture, l'artiste est un touche-à-tout. « Je ne souhaite pas rester dans un unique style. J'aime bien toucher à tout : peinture, collage, sculpture… Quand on peut faire plusieurs choses, pourquoi se priver ?
»Mais aujourd'hui, ce qui occupe l'esprit de l'artiste c'est le street art. Super-héros, cinéma, BD, manga, musique… L'inspiration ne vient pas d'un thème en particulier, mais de plusieurs. « Le street art c'est vaste, ouvert. J'exprime beaucoup de choses par le biais de cet art. J'aime composer, mettre des sujets les uns avec les autres et décaler le tout avec quelque chose qui n'aura rien à voir. Par exemple, mettre sur un même tableau deux super-héros qui n'ont jamais été réunis dans une BD, c'est quelque chose que j'affectionne.
»Le collage comme moyen d'expressio
nLe décalé, les superpositions, le coup-par-coup… Les 'uvres de l'artiste ne naissent pas de dix années de réflexion. « Ça vient au fur et à mesure, et de moi-même. Je n'ai pas d'influeNCe particulière. Mes 'uvres reflètent ce que j'aime : le cinéma, la BD, la musique, etc. Récemment, je me suis aussi tourné vers le manga. Non pas que j'en sois passionné, mais c'est intéressant à travailler.
»Outre la peinture, c'est le collage qui occupe les journées de l'artiste depuis quelque temps. Brigitte Bardot, Steve McQueen, Paris… Ils ont tous le leur. « J'ouvre un magazine, je feuillette, je trouve un thème et après ça part dans tous les sens ! » Sa dernière création : un collage où apparaissent plusieurs personnalités ou personnages connus dans le monde entier, mais n'ayant, à première vue, rien en commun. Marylin, La Joconde, Diana, Sean Connery, M. Malabar, et bien d'autres eNCore sont collés les uns avec les autres par l'artiste vichyssois. Via ses collages, Thierry Auger s'essaye aussi à la sculpture
.« Le street art : nous n'en sommes qu'au début
»« C'est nouveau pour moi, ça me plaît de plus en plus. Et j'ai plus souvent l'occasion d'en réaliser depuis que je suis revenu vivre à Vichy et que je travaille avec la Galerie d'art, de la rue Lucas. Ça me donne l'occasion de partir sur des choses plus monumentales, comme la sculpture d'un tigre à taille réelle. » Mais le tout recouvert de collage bien sûr
.Une autre de ses créations a fait parler de lui : le casque de moto customisé. Sur un casque jet, il appose ses collages, tout en s'assurant de respecter les normes de sécurité, afin de pouvoir utiliser le casque pour faire de la moto. « J'en ai vendu quelques-uns, oui. Généralement je les fais sur demande, ça marche plutôt bien.
»Le street art, l'artiste s'est doNC plongé dedans et n'est pas près d'en ressortir. « C'est un mouvement qui commeNCe à prendre de l'ampleur, ce n'est que le début. Le street art, c'est sortir des sentiers battus, c'est énorme, vaste mais surtout évolutif. Et j'ai hâte de voir et vivre cette évolution !
»Marie-Alexia Crétaud, https://www.lamontagne.fr/vichy-03200/loisirs/peinture-sculpture-et-collage-sont-le-quotidien-de-lartiste-dorigine-vichyssoise-thierry-auger_1695019/
.Réunir La Joconde et Marylin Monroe sur une de ses 'uvres, c'est une chose habituelle pour Thierry Auger. « J'aime mélanger, décaler les choses. Certains de mes tableaux peuvent dégager une ambiaNCe un peu fofolle, un peu trash, mais j'adore ça ! » Et ça ne date pas d'hier
…C'est à partir de sa dixième année que Thierry Auger se prend de passion pour tout ce qui tourne autour du dessin. D'abord des aquarelles, il passe rapidement aux peintures et collages, avant une période à vide. « Puis en 1992 j'ai décidé de bouger. J'avais besoin de quitter Vichy, de voir de nouvelles choses. C'est comme ça que j'ai atterri à Saint-Tropez. Dès lors, je suis retombé dans les aquarelles, puis la peinture. Saint-Trop' m'a beaucoup influeNCé. C'est une ville où il se passe tellement de choses. C'est artistiquement très ouvert, on voit un tas de choses, on reNContre un tas de gens, étrangers, artistes, etc.
»« Je n'ai pas de style unique. Quand on peut tout faire, pourquoi se priver ?
»Des aquarelles au classique, des natures mortes à la sculpture, l'artiste est un touche-à-tout. « Je ne souhaite pas rester dans un unique style. J'aime bien toucher à tout : peinture, collage, sculpture… Quand on peut faire plusieurs choses, pourquoi se priver ?
»Mais aujourd'hui, ce qui occupe l'esprit de l'artiste c'est le street art. Super-héros, cinéma, BD, manga, musique… L'inspiration ne vient pas d'un thème en particulier, mais de plusieurs. « Le street art c'est vaste, ouvert. J'exprime beaucoup de choses par le biais de cet art. J'aime composer, mettre des sujets les uns avec les autres et décaler le tout avec quelque chose qui n'aura rien à voir. Par exemple, mettre sur un même tableau deux super-héros qui n'ont jamais été réunis dans une BD, c'est quelque chose que j'affectionne.
»Le collage comme moyen d'expressio
nLe décalé, les superpositions, le coup-par-coup… Les 'uvres de l'artiste ne naissent pas de dix années de réflexion. « Ça vient au fur et à mesure, et de moi-même. Je n'ai pas d'influeNCe particulière. Mes 'uvres reflètent ce que j'aime : le cinéma, la BD, la musique, etc. Récemment, je me suis aussi tourné vers le manga. Non pas que j'en sois passionné, mais c'est intéressant à travailler.
»Outre la peinture, c'est le collage qui occupe les journées de l'artiste depuis quelque temps. Brigitte Bardot, Steve McQueen, Paris… Ils ont tous le leur. « J'ouvre un magazine, je feuillette, je trouve un thème et après ça part dans tous les sens ! » Sa dernière création : un collage où apparaissent plusieurs personnalités ou personnages connus dans le monde entier, mais n'ayant, à première vue, rien en commun. Marylin, La Joconde, Diana, Sean Connery, M. Malabar, et bien d'autres eNCore sont collés les uns avec les autres par l'artiste vichyssois. Via ses collages, Thierry Auger s'essaye aussi à la sculpture
.« Le street art : nous n'en sommes qu'au début
»« C'est nouveau pour moi, ça me plaît de plus en plus. Et j'ai plus souvent l'occasion d'en réaliser depuis que je suis revenu vivre à Vichy et que je travaille avec la Galerie d'art, de la rue Lucas. Ça me donne l'occasion de partir sur des choses plus monumentales, comme la sculpture d'un tigre à taille réelle. » Mais le tout recouvert de collage bien sûr
.Une autre de ses créations a fait parler de lui : le casque de moto customisé. Sur un casque jet, il appose ses collages, tout en s'assurant de respecter les normes de sécurité, afin de pouvoir utiliser le casque pour faire de la moto. « J'en ai vendu quelques-uns, oui. Généralement je les fais sur demande, ça marche plutôt bien.
»Le street art, l'artiste s'est doNC plongé dedans et n'est pas près d'en ressortir. « C'est un mouvement qui commeNCe à prendre de l'ampleur, ce n'est que le début. Le street art, c'est sortir des sentiers battus, c'est énorme, vaste mais surtout évolutif. Et j'ai hâte de voir et vivre cette évolution !
»Marie-Alexia Crétaud, https://www.lamontagne.fr/vichy-03200/loisirs/peinture-sculpture-et-collage-sont-le-quotidien-de-lartiste-dorigine-vichyssoise-thierry-auger_1695019/