N°815 Chinese man 3 -homme central rouge- - 2017 - signé
800,00 CHF
TTC
Fiche technique
- Type peinture
- sérigraphie
- Genre de peinture - école
- Figuratif
- Dimensions en cm sans cadres
- 70 x 50
- Dimensions en cm avec cadres
- 71 x 51
Guate Mao
Guaté Mao est un artiste mystérieux. Il cache son identité avec beaucoup de soin. Déjà reconnu dans le milieu artistique – et son talent ne devrait que renforcer sa notoriété, – il ne veut pas être reconnu dans la rue
.Il a découvert le street-art à Montpellier, puis il est venu s’installer à Saint-Denis où il anime des ateliers dans les collèges et les lycées
.Son gout de l’observation l’a fait opter rapidement pour la technique du pochoir, pour ses possibilités et son réalisme. Deux ou trois pochoirs suffisent à créer un portrait, une petite journée de découpe pour un petit quart d’heure de pose. Efficace
!Ses portraits sont issus de photographies qu’il prend au cours de ses voyages. Son message est clair : il veut surprendre notre regard par l’émotion de visages venus d’ailleurs qui nous parlent ici. Le regard tendre et souvent triste de ces étrangers est une sorte d’intrusion dans notre quotidien
.Une grande énergie ressort de ses portraits, une énergie positive. Ses personnages nous observent, mais sans jamais nous juger
.Je pense que Guaté Mao travaille dans la rue depuis 2015. Il n’est pas facile de suivre son actualité, mais les meilleurs moyens de se retrouver nez-à-nez avec un de ses portraits est de se ballader dans les rue de Saint-Denis ou dans le quartier de l’Ecusson à Montpellier. http://www.street-heart.com/PA-Guate%20Mao.htm
.Il a découvert le street-art à Montpellier, puis il est venu s’installer à Saint-Denis où il anime des ateliers dans les collèges et les lycées
.Son gout de l’observation l’a fait opter rapidement pour la technique du pochoir, pour ses possibilités et son réalisme. Deux ou trois pochoirs suffisent à créer un portrait, une petite journée de découpe pour un petit quart d’heure de pose. Efficace
!Ses portraits sont issus de photographies qu’il prend au cours de ses voyages. Son message est clair : il veut surprendre notre regard par l’émotion de visages venus d’ailleurs qui nous parlent ici. Le regard tendre et souvent triste de ces étrangers est une sorte d’intrusion dans notre quotidien
.Une grande énergie ressort de ses portraits, une énergie positive. Ses personnages nous observent, mais sans jamais nous juger
.Je pense que Guaté Mao travaille dans la rue depuis 2015. Il n’est pas facile de suivre son actualité, mais les meilleurs moyens de se retrouver nez-à-nez avec un de ses portraits est de se ballader dans les rue de Saint-Denis ou dans le quartier de l’Ecusson à Montpellier. http://www.street-heart.com/PA-Guate%20Mao.htm